Inter perd à Bologne et est accroché par Napoli. Et la post-course de Simone Inzaghi était principalement axée sur un épisode qui a eu lieu avant l'objectif de victoire de Riccardo Orsolini. L'entraîneur de Nerazzurri a expliqué comment le remises latérale (pas du but, mais celui immédiatement précédent) avait été battu plusieurs mètres plus tard. En plus du fait qu'il vous fait sourire que de vous plaindre de distances non respectées est le même entraîneur qui passe souvent et volontiers tout le jeu de sa zone technique (comme à l'occasion de la transmission tant discutée, en fait), il y a également un précédent dont il a profité à son équipe. La même chose qu'à la fin du match, pour ce qui s'est passé, a entouré l'arbitre Columbus d'une manière menaçante. L'épisode en question est lié à la finale de la Super Coupe italienne contre Milan, remportée par les Rossoneri en retour mais avec le réseau initial de l'avantage de la marque Interista. La différence dans ce cas est que le envoi, dont DiMarco est facturé, est battu à plusieurs mètres plus loin et non en avant, mais la question reste identique, en fait pire encore: une faute battue battue non pas au point responsable et avec d'autres irrégularités. DiMarco anticipe et accélérer la récupération du jeu bat bien plus loin, pour être précis de 7. 5 mètres: à partir de là, l'action se poursuit et se termine avec le réseau Lautaro Martinez, pour apporter temporairement le Nerazzurri à l'avantage. En plus de cela, la deuxième irrégularité est donnée par le fait que DiMarco bat et la balle, avant d'entrer sur le terrain, rebondit même à l'extérieur. Un épisode évidemment encore plus marqué que celui de Bologne parce que dans le cas de la Super Cup, les retamsa d'Inter donnent vie au but dans la même action. Al Dallara, en revanche, la blague concernait le remises précédente et non à celle dont le réseau Orsolini est né.