L'ancien agent de Gareth Bale mis en examen pour esclavage sexuel

Jonathan Barnett, le célèbre agent de Gareth Bale et reconnu depuis des années comme l'un des agents les plus influents du football international, fait l'objet d'une enquête de la police britannique pour avoir prétendument violé et torturé une femme exploitée sexuellement. En 2019, Forbes a désigné Barnett comme le meilleur agent du monde après avoir négocié 1,179 milliard d'euros de transferts et de contrats de joueurs. Barnett nie les allégations, mais admet avoir payé plus d'un million de dollars à une femme pour qu'elle se taise Barnett (75 ans) nie les allégations et, selon The Telegraph, a admis avoir payé la femme en septembre 2021 pour qu'elle se taise après leur « relation personnelle consensuelle ». Dans les derniers documents judiciaires déposés par ses avocats, le super-agent affirme qu'elle a menacé de révéler des détails si elle n'était pas payée. Lorsque ma relation avec la revendicatrice a pris fin, elle a menacé de le révéler publiquement. À la suite de ces menaces, j'ai payé la requérante sur plusieurs années, pour finalement lui verser bien plus d'un million d'euros. . . tous les paiements ont été effectués par moi en Angleterre, a déclaré Barnett au tribunal. La plaignante affirme que Jonathan Barnett l'a violée plus de 39 fois. La plaignante, identifiée uniquement comme Jane Doe, affirme que Barnett l'a gardée comme esclave sexuelle pendant six ans et l'a violée plus de 39 fois. Dans une action civile intentée devant le tribunal, la plaignante accuse l'ancien officier de l'avoir transférée d'Australie au Royaume-Uni en 2017 sous de fausses promesses d'aide humanitaire. La femme affirme avoir été privée de liberté pendant six ans et soumise à des agressions physiques, à l'isolement et à des conditions dégradantes, notamment la privation d'eau, de nourriture et d'hygiène. En juillet 2025, Jonatha Barnett a été formellement inculpée d'infractions extrêmement graves, notamment traite d'êtres humains, torture et viol, selon des sources judiciaires.